Behia est une artiste de jazz talentueuse et méconnue. Afin de l’aider à développer sa notoriété, nous avons organisé un shooting photo digne des plus grands professionnels, et proposé à Riviera Magazine de faire son portrait.
Behia ne tombe pas dans le piège de “l’hommage à” tant répandu de notre temps. Le répertoire est extrêmement bien choisi. De petits miracles comme Good Morning Heartache ou Don’t explain alternent avec des blues qui lui collent à la peau. Il faut du cran pour s’attaquer à Strange Fruit, voix parfaite, pleine d’une émotion distillée, la dramaturgie du texte est palpable.
Michel Delorme, membre de l’Académie des Victoires du Jazz et du John Coltrane Syndicate
Il faut être vraiment gonflée et n’avoir peur de rien pour se colleter Strange Fruit et God Bless The Child après les interprétations inoubliables de Billie Holiday. Cela n’a heureusement pas fait reculer Behia qui s’est lancée à cœur ouvert dans cette aventure. J’ai été sous son charme en direct à Cairanne au cours du Festival Jazz dans les Vignes et à l’écoute de son CD chez moi, le plaisir est à nouveau et plus que jamais au rendez-vous. Encore merci Behia !
Sine, auteur de Vive Le Jazz
Mais qui est-elle ?
Charme, émotion, sensibilité, ce sont les mots retrouvés dans les commentaires du public à la sortie et le lendemain de ce concert. Pas d’imitation, on en est saturé. La blonde et sensuelle Behia a bien d’autres moyens d’évoquer avec grâce et talent le souvenir de Billie Holiday. Superbe voix et belle technique bien sûr, mais aussi le talent d’émouvoir. C’est une des interprétations des plus remarquables de ce répertoire que le public, qui ne s’y est pas trompé, a applaudi chaleureusement. On ne pouvait rendre à l’inoubliable Lady Day plus bel hommage.
Le Dauphiné Libéré, le 26 juillet 2013
Le groupe Behia Jazz Quintet a offert une superbe représentation avec pour fil conducteur les créations intemporelles de Cole Porter. Behia a su transmettre toute sa sensibilité et son émotion. C’était une magnifique soirée.
Nice Matin, le 24 août 2017 (Cécile Cerda)
Behia approche de la scène, belle. Belle prise en main du trio. Sa voix est chaleureuse, ample, le geste sympathique. L’assistance est embarquée dans le voyage, ça swingue, ça applaudit. Dans la France hivernale, la porte du lieu magique est grande ouverte. Bossa nova, standards, ballades… lors de ce concert, n’ont jamais déçu.
Yves Rogier, à l’occasion d’un concert au Romagnan Jazz Club
Un sens du swing permanent, un sound qui rappelle les grandes ladies du jazz, une mise en place parfaite, un bel hommage aux musiciens qui appartiennent à l’histoire de la musique afro-américaine
Henri Marchal dans La Semaine des Spectacles de la Côte d ‘Azur
Sa voix séduit d’emblée par sa fraîcheur, son timbre, le naturel avec lequel elle fait siens les thèmes pour lesquels elle semble faite, mais son mérite est aussi le fruit d’autres facteurs : une diction parfaite, le sens du swing (…) Son incursion dans le répertoire brésilien peut soutenir la comparaison avec les spécialistes que sont Rosa Passos et Sylvia Telles.
Jacques Aboucaya dans Jazz Magazine
J’avais dit le plus grand bien du premier CD de Behia Just Squeeze me. Je persiste et je signe au vu de son second. Behia déploie ses qualités vocales encore davantage sur Jazzmen Swing, chantant en anglais, en français, en espagnol, en brésilien, en hébreu, avec un phrasé net et distinct.
Michel Bedin dans Jazz Hot International
Un choix de standards loin du répertoire éculé. Grâce à la maitrise extraordinaire de la voix et des mélodies, Behia les distille, les vit, les enjôle. Bref, elle a tout d’une grande
Michel Delorme, Membre de l’Académie du Jazz et du John Coltrane Syndicate